JOSHU GEORG : le curriculum vitae



Marc Du Pré est né à Kaprijke le 16 mars 1947.
Pseudonyme en tant qu’expressionniste: GEORG.
Pseudonyme en tant qu'artiste zen: JOSHU.



Depuis son plus jeune âge, Marc dessine et expérimente l'aquarelle, la gouache et le fusain.
A l’àge de 12 ans, il entame la peinture à l’huile. Puis, très vite, la sculpture l’intéresse. Sa toute première œuvre fut réalisée avec un tournevis, de la toile émeri et un peu de verre. Cette œuvre â été présentée lors d’une émission télévisée.



A partir de l’âge de 18 ans, la possibilité lui est offerte de participer à des expositions d’œuvres graphiques, de sculptures (bois, pierre blanche et marbre) ainsi que de compositions en fer et en béton. Il est l’artiste le plus jeune à prendre part à une exposition où son œuvre côtoie celle d’Octave Landuyt, Tinel, Serras et d’autres artistes bien connus.



Il commence une formation de dessin (sur modèle vivant) lors de ses études universitaires. A l'académie d'Eeklo, il obtient en 1977 son diplôme en sculpture avec la mention "grande distinction", ce qui lui permet de continuer à sculpter d'une manière professionnelle. Cette même année, il obtient le prix "Prof. Wuytack".



A partir de ce moment, les média s’intéressent à lui : Jan Van Rompaey lui consacre une partie de son programme Echo, Walter Zinzen, et plus tard Dirk Tieleman, le font apparaître dans le programme Panorama à la télévision belge.



Les expositions de JOSHU GEORG de 2000 à 2009



Plusieurs œuvres réalisées par l'artiste ont été offertes à des personnes éminentes en Belgique, telles que Willy De Clerck, Della Bossiers, Herman Van Veen... mais aussi célèbres dans le monde comme, par exemple, Le Dalaï Lama. D’autres œuvres se trouvent à des endroits comme la prison centrale de Louvain, le centre de la Jeunesse Contemporaine, Bijzondere Jeugdzorg Eeklo, et un certain nombre de couvents. La sculpture qui a reçu le prix de la sculpture de Kuurne, se trouve dans l'Abbaye d'Heverlee. A la Basilique de Koekelberg, à Bruxelles, se trouve son tableau "Le Christ Bouddha", une œuvre picturale de 3 m x 4 m qui est en exposition permanente au 1er étage, galerie Raoul Marie Depuydt.



Amnesty International a montré beaucoup d'intéêrêt pour son "Chemin de Croix", une œuvre en 11 tableaux dessinés au fusain avec pour thème l'Holocauste. Cet ensemble a eu son propre chemin de croix à' cause des controverses qu’il a suscitées. D'abord extrêmement considérée, cette œuvre a ensuite été reléguée dans un cagibi, puis récupérée et exposée à CREA, Gand, en 1990, pour être finalement amenée en Ouzbékistan pour une exposition. Ensuite, cet ensemble a fait partie de la collection Lecluyse à Gand. Aujourd'hui, il continue son chemin de croix, ses traces sont à nouveau perdues.



La période de l'Art Zen commence à Gand, quand l'artiste met en images la philosophie ZEN dans son œuvre expérimentale, avec le but de fixer les images toujours changeantes de l'instant présent.
Ceci aboutit à un premier projet : TING ZENTRUM BRUGGE.
Grâce aux amateurs d'art en visite à Bruges, l'œuvre de Joshu Georg fait son chemin à travers le monde : mention spéciale de l'académie de Boston et du marché des arts au Japon, qui ne font que promouvoir son œuvre.



Entre-temps, l’artiste a fondé sa propre galerie 'Rock Konkerne' à Concarneau et le musée Joshu Genku à Assenede (Belgique).



Les expositions de JOSHU GEORG de 1985 à 1999





L'artiste touche à pratiquement tous les styles : de l’impressionnisme jusqu’à l’éclatante exubérance, parfois surréaliste, abstraite ou réaliste pour déboucher finalement sur l'essentiel : l'Art Zen.


Pour lui, être artiste n'est pas l'essentiel de sa vie. L'expression artistique fait partie d'un Tout, qui est la Réalisation de soi. Il est encore expert en arts martiaux, et écrivain : sa plume, parfois mordante, glisse allègrement sur le papier (il a reçu les amicales félicitations de Louis Paul Boon), jusqu'à présent il a écrit plusieurs recueils de poèmes, des milliers de haikus, des koans et même quelques romans (pas encore publiés).



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En tant que musicien, il s'attaque très jeune à l'harmonica. Pendant son séjour en Afrique, il est plongé dans les rythmes tribaux de ses amis africains. C'est à ce moment que son cóté musicien noir se réveille. C'est là qu'il apprend ses premiers rythmes, qu'il joue sa première session avec les percussionnistes africains.
Il reprend très vite le courant en 1997 en s'inscrivant à une formation de percussion sous la direction de Doudou N'Diaye Rose, Maître Percussionniste sénégalais célèbre dans le monde entier. Il s’y consacre avec toute son énergie et reçoit une grande distinction pour ses performances en djembé et sabar. Plus tard, fort de son expérience africaine, il forme son propre groupe de percussion. Lors d'une rencontre avec Doudou en 2002 au gré d'un des concerts du percussionniste sénégalais à Quimper, il fut appelé, par le maître lui-même, "Doudou n°II".

Le répertoire musical de Marc Du Pré ne se limite pas uniquement à la percussion, le groupe Dagda joue du blues, du rock, du reggae, du gospel, etc., dont il est auteur, compositeur, chanteur. Vril se dirige plutôt vers du jazz expérimental. Ici aussi il signe les œuvres.

Dans le prolongement de John Cage, Marc Du Pré, mieux connu en tant que professeur expert en Yi King, s'est mis à écrire tout genre de musique sur des modèles holographiques. Il dirige différents groupes de musique.
Pour l’instant, il a réalisé des dizaines de Cds.
Un enrichissement surprenant pour la musique de demain.

Pour plus d'informations, voir le site www.yaxonix.net

Extrait d’une émission sur «la fin du siècle» - la voie vers la paix peut commencer avec du Tai Chi. Kata Taikisho, par Marc Du Pré, 1991